1/5 chello b. 3 years ago on Google
(Translated
by
Google)
I
had
excellent
contact
with
the
cardiac
rehabilitation
service.
the
manager
was
very
human,
very
attentive.
so
I
thought
it
would
be
in
my
interest
to
follow
my
post-heart
attack
revalidation
with
them.
especially
as
it
is
30
minutes
walk
from
my
home.
so
no
bus
=
less
risk
of
catching
the
covid.
in
order
to
protect
my
home
as
much
as
possible
from
any
contamination
by
covid,
or
even
other
filth
that
may
be
lying
around,
I
always
wear
disposable
nitrile
gloves.
suddenly,
everything
I
touch
outside
with
my
gloves,
does
not
contaminate
what
is
in
my
home,
because
they
are
thrown
directly
on
the
way
home.
I
had
warned
the
manager
of
the
revalidation
service
who
let
me
understand
that
we
would
discuss
it
during
my
first
appointment.
I
take
the
trouble
to
go
out
of
my
house,
to
walk,
with
difficulty,
because
breathless,
tired,
to
the
clinic.
when
I
arrive,
I
disinfect
...
my
gloves.
I
wear
my
surgical
mask.
I
go
down
to
-1
after
registering.
I
wait
a
few
minutes,
chatting
with
the
people
present.
the
manager
finds
me
in
the
waiting
room,
telling
me
to
follow
him.
what
I
do.
I
go
into
the
gym
and
there
he
demands
that
I
take
off
my
gloves
so
that
I
can
disinfect
my
hands.
I
refuse.
he
hands
me
my
thumbnails
and
tells
me
cash,
I
don't
want
you
here.
either
you
remove
them
or
you
leave.
I
left.
suddenly,
let's
be
clear,
I
will
hold
personally
responsible
for
this
guy
if
it
should
happen
to
me
misfortune
because
of
a
lack
of
revalidation.
the
worst
in
this
story.
is
that,
I
had
all
my
meetings
scheduled
in
Saint
Luc
on
June
18.
appointment
that
I
had
canceled
convinced
that
everything
will
be
fine
at
Saint
Michel.
I
clearly
do
not
recommend
this
odious
structure,
or
empathy
is
nonexistent,
or
we
are
spoken
as
if
we
were
nothing
at
all.
they
fired
me
for
....
a
pair
of
protective
gloves.
since
when,
I
no
longer
have
the
right
to
protect
myself
from
the
other?
if
structures
like
shops,
cops,
hospitals
can
impose
their
vision
of
THEIR
OWN
PROTECTION
on
me,
I
believe
I
have
the
RIGHT
to
IMPOSE
MY
OWN
VISION
OF
MY
PERSONAL
INTERESTS
on
them;
so
does
my
survival.
(Original)
j'ai
eu
un
contact
excellent
avec
le
service
de
revalidation
cardiaque.
le
responsable
a
été
très
humain,
très
à
l'écoute.
je
pensais
donc
que
j'avais
tout
intérêt
à
suivre
ma
revalidation
cardiaque
post
infarctus
chez
eux.
d'autant
que
c'est
à
30
mn
à
pieds
de
chez
moi.
donc
pas
de
bus
=
moins
de
risques
de
choper
le
covid.
afin
de
protéger
mon
domicile
le
plus
possible
de
toute
contamination
au
covid,
voire
même
aux
autres
saloperies
qui
peuvent
trainer,
je
porte
systématiquement
des
gants
en
nitrile
jetable.
du
coup,
tout
ce
que
je
touche
à
l'extérieur
avec
mes
gants,
ne
contamine
pas
ce
qui
se
trouve
dans
mon
domicile,
parce
qu'ils
sont
jeter
directement
en
rentrant
chez
moi.
j'avais
bien
prévenu
le
responsable
du
service
revalidation
qui
m'a
laissé
entendre
que
nous
en
rediscuterions
lors
de
mon
premier
rendez
vous.
je
prends
la
peine
de
sortir
de
chez
moi,
de
marcher,
difficilement,
parce
essoufflé,
fatigué,
jusqu'à
la
clinique.
en
arrivant,
je
désinfecte
...
mes
gants.
je
porte
mon
masque
chirurgical.
je
descends
au
-1
après
m'être
inscrit.
je
patiente
qques
mn,
discutant
avec
les
personnes
personnes
présentes.
le
responsable
me
retrouve
dans
la
salle
d'attente,
m'enjoint
de
le
suivre.
ce
que
je
fais.
je
rentre
dans
la
salle
de
sport
et
là,
il
exige
que
je
retire
mes
gants,
afin
que
je
me
désinfecte
les
mains.
je
refuse.
il
me
tend
mes
vignettes
et
me
dit
cash,
je
ne
veux
pas
de
vous
ici.
soit
vous
les
retirer
soit
vous
partez.
je
suis
parti.
du
coup,
soyons
clair,
je
tiendrai
pour
personnellement
responsable
ce
type
si
il
devait
m'arriver
malheur
à
cause
d'un
défaut
de
revalidation.
le
pire
dans
cette
histoire.
c'est
que,
j'avais
tous
mes
rendez
vous
prévus
à
Saint
Luc
le
18
juin.
rendez
vous
que
j'avais
annulé
convaincu
que
tout
se
passerai
bien
à
Saint
Michel.
je
ne
recommande
clairement
pas
cette
odieuse
structure,
ou
l'empathie
est
inexistante,
ou
l'on
nous
parle
comme
si
nous
n'étions
rien
du
tout.
ils
m'ont
viré
pour....
une
paire
de
gants
de
protection.
depuis
quand,
je
n'ai
plus
le
droit
de
me
protéger
de
l'autre
?
si
les
structures
comme
les
magasins,
les
flics,
les
hoipitaux
peuvent
m'imposer
leur
vision
de
LEUR
PROPRE
PROTECTION
j'estime
avoir
le
DROIT
de
leur
IMPOSER
MA
PROPRE
VISION
DE
MES
INTERETS
PERSONNELS;
il
en
va
de
ma
survie.